CUBACOLOR - PHOTOGRAPHIES DE SERGE VINCENTI
Cuba, pays de couleurs
Serge Vincenti est resté longtemps sensible au noir et blanc. Pour lui, le monde s’écrit d’abord en formes et en teintes subtiles. Puis il s’est rendu à Cuba, une fois, en l’an 2000. Puis d’autres fois. Là,un monde nouveau s’est écrit en couleurs. Le regard du photographe s’est modifié, non pas pourcoloriser des scènes précédemment saisies en noir et blanc, mais pour prendre LA couleur comme sujet.
Si les couleurs rutilantes d’objets familiers à l’imaginaire occidental peuvent caractériser Cuba,comme les belles américaines qui servent de fil « conducteur » à cette balade poétique entre LaHavane et Trinidad, la vérité du pays se cache ailleurs : taxis collectifs à moitié déglingués ; maga- sins d’État aux rayons presque vides ; musique omniprésente pour chanter la douleur du bout des doigts ; ferveur des cérémonies de la Santeria illuminées par un blanc incandescent ; fragilité et résistance des architectures coloniales qui tiennent debout malgré tout... Le quotidien des Cubains se réfugie là, dans un grand brassage paradoxal de pauvreté et de joie de vivre, avec la couleur comme évidence.
Marc Wiltz, Éditions Magellan & Cie
www.sergevincenti.fr
Serge Vincenti est resté longtemps sensible au noir et blanc. Pour lui, le monde s’écrit d’abord en formes et en teintes subtiles. Puis il s’est rendu à Cuba, une fois, en l’an 2000. Puis d’autres fois. Là,un monde nouveau s’est écrit en couleurs. Le regard du photographe s’est modifié, non pas pourcoloriser des scènes précédemment saisies en noir et blanc, mais pour prendre LA couleur comme sujet.
Si les couleurs rutilantes d’objets familiers à l’imaginaire occidental peuvent caractériser Cuba,comme les belles américaines qui servent de fil « conducteur » à cette balade poétique entre LaHavane et Trinidad, la vérité du pays se cache ailleurs : taxis collectifs à moitié déglingués ; maga- sins d’État aux rayons presque vides ; musique omniprésente pour chanter la douleur du bout des doigts ; ferveur des cérémonies de la Santeria illuminées par un blanc incandescent ; fragilité et résistance des architectures coloniales qui tiennent debout malgré tout... Le quotidien des Cubains se réfugie là, dans un grand brassage paradoxal de pauvreté et de joie de vivre, avec la couleur comme évidence.
Marc Wiltz, Éditions Magellan & Cie
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